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maquette véhicule DELTA FORCES DESERT STORM FAV WITH 2 FIGURES HOBBY FAN 009 1/35ème maquette char promo
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DELTA FORCES DESERT STORM FAV WITH 2 FIGURES
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maquette véhicule DELTA FORCES DESERT STORM FAV WITH 2 FIGURES HOBBY FAN 009 1/35ème
DELTA FORCE - VEHICULE FAV (Opération Desert Storm)
Véhicule léger de reconnaissance et commandos des forces spéciales US. Inclus 2 figurines. Maquette en résine.
La « Delta Force » (formellement appelée 1st Special Forces Operational Detachment-Delta (Airborne) [1st SFOD-D (A)]) est une unité des forces spéciales américaines appartenant à l'US Army et dépendant du Joint Special Operations Command (JSOC). Un de ses caractères principaux est le secret qui l'entoure, ce qui explique le peu de renseignements disponibles sur l'unité. En effet, l'armée américaine continue de la maintenir dans le secret bien que son existence soit actuellement indiscutable, et refuse de livrer toute information à son sujet. L'unité porte également d'autre noms officiels dont Combat Applications Group (CAG).
Au début des années 1960, le Special Air Service (SAS) britannique et les Special Forces américaines créèrent un programme d'échange par lequel un officier et un sous-officier du 22 SAS allaient au 7th Special Forces Group (SFG) pour une durée d'un an, et réciproquement. Un des premiers participants à ce programme, le capitaine Charles Beckwith des SF, fut extrêmement impressionné par les particularités du SAS (sélection rigoureuse, exercices aussi réalistes que possible avec planification sommaire, drills à balles réelles, etc.) De retour aux États-Unis, il conseilla à l'US Army de créer une unité similaire au SAS, mais ses suggestions répétées ne rencontrèrent aucun écho1.
Ce n'est qu'à partir de la fin 1975, en étudiant les rôles des différents composantes de l'US Army au sortir de la guerre du Viêt Nam, que les hautes autorités de l'US Army et en particulier son Deputy Chief of Staff for Operations and Plans (DCSOPS), le général Edward C. « Shy » Meyer, réalisent le manque et le besoin d'une force spéciale spécialisée dans les actions commando. À la suite d'un briefing en août 1976, le général William DePuy commandant le Training and Doctrine Command (TRADOC) donna l'ordre au général Robert C. Kingston qui commandait l'US Army John F. Kennedy Center for Military Assistance (USAJFKCENMA, ou plus couramment JFK Center, unité parente des Special Forces) de développer un concept d'une telle unité, et celui-ci confia la tâche à Charles Beckwith, devenu entre-temps colonel2.
Beckwith, assisté de quelques hommes, affina le concept de l'unité jusqu'au début de 1977, et, comme il existait déjà au sein des Special Forces les détachements opérationnels Alpha, Bravo et Charlie, décida de l'appeler Delta. Il obtint l'accord du Forces Command (FORSCOM), qui a autorité sur l'affectation du personnel, puis, le 2 juin 1977, l'approbation du général Bernard W. Rogers, Chief of Staff of the Army (CSA). Le 1st Special Forces Operational Detachment-Delta (1st SFOD-Delta, appelée couramment juste « Delta ») est placé sous l'autorité du JFK Center, qui dépend lui-même du XVIIIe corps aéroporté américain, qui dépend du FORSCOM qui est sous l'autorité du DCSOPS, le général Ed Meyer3. Le projet connut une accélération soudaine à la suite de l'opération du GSG 9 allemand qui libéra par la force les otages d'un avion de la Lufthansa détourné à Mogadiscio le 13 octobre 1977. L'ordre d'activer Delta, avec alors pour première mission le contre-terrorisme, fut donné le 19 novembre 1977 (Beckwith étant alors en déplacement en Europe, il ne le reçut qu'en décembre)4.
Beckwith prévit qu'il lui faudrait deux ans avant que l'unité ne soit opérationnelle. Cependant, le Readiness Command (REDCOM) qui s'était vu confier la responsabilité de tester et déployer les unités contre-terroristes à la suite du raid d'Entebbe en 1976, avait constaté le besoin d'une unité spécialisée à la suite du détournement de Mogadiscio, et en avait besoin immédiatement. En conséquence, le successeur de Kingston à la tête du JFK Center, le général Jack Mackmull, avec lequel Beckwith avait une mauvaise relation, confia au colonel Bob Mountel, commandant le 5th Special Forces Group (SFG), le soin de créer une unité d'intérim, appelée Blue Light. À tort ou à raison, Beckwith pensa que Mountel avait l'intention de montrer qu'il pouvait créer une unité plus rapidement et pour moins cher que Delta, et un esprit de rivalité s'établit entre les deux unités5.
Delta s'installa dans les vieux bâtiments de la Stockade (prison militaire) de Fort Bragg. La liste de son personnel fut classifié par le Military Personnel Center (MILPERCEN). Il lança une campagne de recrutement, décidant de recruter dans toute l'armée et pas uniquement dans l'infanterie, à l'instar du SAS6. Cependant, le général Mackmull limita les possibilités de recruter au sein des Special Forces, de crainte que les SFG, déjà en sous-effectif, se vident de leur personnel. Parallèlement, certains officiers du FORSCOM empêchaient les Rangers de participer à la sélection de Delta.
Beckwith dut court-circuiter la chaîne de commandement et parler directement au CSA, le général Rogers, pour débloquer la situation. Beckwith demanda que Delta soit rattachée directement au DCSOPS Meyer, mais cela fut impossible par manque de personnel à l'état-major de l'armée. Le général Meyer simplifia néanmoins la chaîne de commandement en ordonnant que pour tout ce qui concerne Delta, Mackmull réponde directement au Département de l'armée. Il ordonna également que les SF et Rangers puissent participer librement aux épreuves de sélection7.
Une des premières étapes dans la formation de l'unité fut la création d'un bâtiment d'entraînement derrière la Stockade, où les opérateurs s'exercèrent à entrer dans une pièce, identifier les cibles, et abattre des cibles simulant des terroristes tout en épargnant les otages. Avec l'aide de la Federal Aviation Administration (FAA) et de compagnies aériennes, ils s'entraînèrent également à prendre d'assaut des avions détournés8.
Delta chercha également à apprendre toute tactique ou technique utile auprès d'autres services dont le FBI et l'United States Secret Service9. À l'époque, le FBI n'avait que des unités type SWAT entraînées pour des arrestations à hauts risques mais pas pour libérer des otages. En cas de prise d'otage impliquant plusieurs terroristes et plusieurs otages, le FBI prévoyait de confier la situation à Delta dès qu'ils auraient l'autorisation présidentielle pour le faire. Delta effectua son premier exercice avec le FBI, nom de code Joshua Junction, dans le Nevada en mai 1978. Des exercices subséquents impliquèrent d'autres services américains, comme le Nuclear Emergency Search Team (NEST)10.
Delta passa avec succès un exercice de certification initiale en juillet 1978, à l'issue duquel Blue Light n'apparaissait plus nécessaire. Blue Light fut désactivée quelques mois plus tard. La rivalité entre les deux unités était telle qu'aucun membre de Blue Light ne se porta volontaire pour intégrer Delta, ni ne se le vit proposer11.
Au cours de l'année 1979, Delta entama des programmes d'échange avec des unités étrangères dont le SAS, le GSG 9 ouest-allemand, le GIGN français et des unités spéciales israéliennes. L'unité s'agrandit, passant à deux escadrons appelés A et B. Beckwith formalisa les tâches, conditions et standards de l'unité servant d'indicateurs pour évaluer son état de préparation, qui serviront aux évaluateurs extérieurs et aux futurs commandants de l'unité. Le document résultant, surnommé « le Livre Noir », énumérait notamment une soixantaine de compétences individuelles, environ vingt-cinq compétences de niveau de la patrouille, huit à dix compétences de niveau de la troupe. Un escadron avait trois compétences : prendre d'assaut un bâtiment, une situation en plein air, et un avion de ligne12.
Début novembre 1979, Delta passa son exercice de validation finale, devant un jury comptant l'ambassadeur Anthony Quainton, directeur de l'Office for Combatting Terrorism du Département d'État des États-Unis, des représentant des agences concernées par le terrorisme (FBI, CIA, Secret Service, DoE, FAA, etc.), ainsi que des observateurs étrangers dont le colonel Ulrich Wegener, créateur et commandant du GSG-9, le général Sir Peter de la Billière, commandant du SAS Regiment, le capitaine Christian Prouteau, créateur et commandant du GIGN, et des Israéliens13. Quelques heures plus tard, une foule menée par des étudiants prit en otage le personnel de l'ambassade Américaine de Téhéran, en Iran. La crise iranienne des otages et l'opération Eagle Claw qui fut menée pour tenter de les libérer par la force devait être la première opération de Delta.
Une des conséquences directes de l'échec de l'opération Eagle Claw fut la création d'un commandement d'opérations spéciales interarmées, le Joint Special Operations Command (JSOC), sous les ordres duquel fut placé la Delta Force et une unité de l'US Navy similaire nouvellement créée, le SEAL Team 614.
Au début des années 1980, le directeur du FBI William Webster décida de combler l'écart existant entre les unités SWAT et Delta en créant la Hostage Rescue Team. Le colonel Paschall, commandant Delta à l'époque, collabora avec le FBI pour entraîner des agents du bureau dans les tactiques et techniques contre-terroristes15.
En 1985, l'unité fit l'objet d'enquêtes de l'armée et du Département de la Justice car un certain nombre de ses hommes avaient détourné des fonds en exagérant leurs notes de frais de déplacements. Le scandale aurait pu menacer l'existence de l'unité, mais son commandant de l'époque, William Garrison, prit leur défense et ne punit que ceux qui avaient commis le plus d'abus. Sept membres de l'unité seraient passés en cour martiale et quatre-vingt autres auraient reçu des sanctions disciplinaires non-judiciaires16.
Au cours des années 1980, Delta s'agrandit, passant d'une centaine d'hommes répartis en deux escadrons réduits à l'époque d'Eagle Claw, à trois escadrons complets totalisant 200, plus 300 autres personnels de soutien à la fin de la décennie17. Delta déménagea en 1987 de la vieille Stockade pour un nouveau QG construit sur mesure pour 75 millions de dollars, et appelé Security Operations Training Facility (SOTF), situé sur le Range 19 de Fort Bragg18.
Avec le temps, Delta n'est pas demeurée une unité purement de contre-terrorisme comme à sa création, mais elle est devenue capable d'un large spectre de missions, ce qui était l'idée originale de Beckwith d'après le modèle du SAS britannique19.
À partir de la fin des années 1980, un des efforts du JSOC a été de réduire les conflits avec les commandements militaires régionaux, et d'intégrer ses différentes unités, à l'esprit très indépendant, entre elles20. Au début des années 1990, le JSOC insitua un régime d'entraînement qui forçait Delta et le SEAL Team 6 à s'entraîner ensemble tous les trois mois. La relation entre les deux unités passa de l'animosité à une saine rivalité, et des amitiés se développèrent entre membres des deux unités21.
Delta a continué d'augmenter en taille. Au milieu des années 1990, elle comptait environ 800 membres19, et près de 1 000 au début des années 200022.
Le rôle initial de la Delta Force était le contre-terrorisme, en priorité pour protéger ou secourir les citoyens et intérêts américains à l'étranger. Pour des cas exceptionnels, elle peut intervenir sur le territoire américain, notamment en collaboration avec la Hostage Rescue Team du FBI.
Cependant, l'unité est capable d'opérations extrêmement diverses. Elle peut être chargée d'assurer la protection de hautes autorités militaires américaines (voire alliées dans certains cas) en temps de guerre ou de tensions, d'opérations spéciales diverses (reconnaissances et raids en arrière des lignes ennemies), ainsi que de dispenser des formations spécifiques à des unités étrangères.
Cette diversité, ainsi que la possibilité laissée aux forces spéciales américaines d'agir en civil, fait qu'il peut être difficile de déterminer si une opération est du ressort de la Delta Force, des autres Special Forces US ou du service d'opérations clandestines de la CIA.
L'organisation de la « Delta Force » est - comme le reste - secrète. Selon les rares informations disponibles, l'unité est commandée par un colonel et son état-major comprend un commandant adjoint et des officiers d'administration, de renseignement, d'opérations, de logistique, tous ayant le grade de lieutenant-colonel23.
La force opérationnelle de l'unité est organisée en escadrons désignés par une lettre, sur le modèle du Special Air Service britannique : A squadron, B squadron et C squadron24. La devise du A squadron est Molon Labe25 Un D squadron aurait été ajouté à cet organigramme approximativement vers 200526.
Chacun de ces escadrons d'opérateurs a son propre état-major avec un commandant d'escadron, un officier d'opérations, un officier de renseignement, etc. Selon les descriptions les plus récentes, les escadrons comprennent 75 à 85 opérateurs répartis entre deux troops d'assaut d'une trentaine d'hommes, et une troop de reconnaissance et surveillance surnommée recce troop27. Les troupes d'assaut sont elles-mêmes divisées en teams de quatre ou cinq opérateurs, et les troupes de reconnaissance et surveillance sont formées de teams de quelques binômes snipers-spotters ayant une expérience antérieure dans une troupe d'assaut28. Toutes ces équipes sont généralement désignées par des codes de l'alphabet radio29.
Les opérateurs ne représentaient qu'environ 250 hommes sur le millier que comptait approximativement l'unité en 200022. Les autres forment une structure de soutien considérable. Un escadron de soutien regroupe le personnel responsable de l'administration, de la finance, de la logistique, de la planification des opérations, etc. Il comprend un détachement de sélection et de formation des recrues (S&T detachment, pour selection and training) dont un psychologue, un détachement médical, un détachement de recherche et développement d'armes et de matériel, un détachement technique et électronique (T&E) pour le matériel d'écoute et de renseignement, etc.30. À la Security Operations Training Facility (SOTF), le complexe de la Delta Force à Fort Bragg, sont également affectés un Staff Judge Advocate31 et un Special Agent in Charge du CID32.
L'escadron de soutien comprend également un détachement de renseignement entraîné à opérer clandestinement dans des pays étrangers pour reconnaître des objectifs. Initialement surnommé « Funny Platoon », ce détachement est né d'un long conflit avec l'Intelligence Support Activity (ISA) qui avait le même rôle mais refusait de laisser Delta évaluer ses agents. La Funny Platoon a intégré des soldats féminins à partir de 1990, dans le but d'infiltrer des agents sous la couverture d'un couple mari et femme. Un élément spécialisé s'occupe d'imprimer de faux papiers pour ces opérateurs clandestins33. Au début des années 2000, ce détachement comptait une centaine d'opérateurs clandestins34 et était appelé operational support troop35.
À la fin des années 1980, un escadron d'aviation Delta clandestin a été créé, reprenant peut-être le rôle de l'unité Seaspray. Cet escadron était décrit au milieu des années 1990 comme organisé en red, blue et green platoons, et disposant d'une douzaine d'hélicoptères AH-6 et MH-6 Little Birds peints dans de fausses couleurs civiles, utilisés pour des opérations clandestines36. Selon des informations plus récentes, l'escadron d'aviation fonctionnerait sous le nom de Flight Concepts Division et serait basé à Fort Eustis en Virginie, près de la fameuse « Ferme » de la CIA à Camp Peary. L'escadron accomplit d'ailleurs des missions pour la CIA37.
La plupart des recrues proviennent des Special Forces et du 75th Ranger Regiment, mais certains viennent d'autres unités de l'US Army. Environ 70 % des opérateurs Delta seraient d'anciens Rangers38.
Bien que l'existence de l'unité ne soit pas reconnue, des annonces de recrutement ont été publiées dans divers journaux d'informations militaires39.
Ces annonces des années 1990 indiquent que les candidats doivent être volontaires, de service actif, de sexe masculin, avoir la citoyenneté US, avoir au minimum 22 ans, être aptes médicalement et physiquement, et être de grade de sergent (E-5) à Sergeant First Class (E-7) pour les sous-officiers et capitaine ou major ayant 12 mois de commandement satisfaisant pour les officiers. Les recruteurs de l'unité effectuent également des visites pour informer et attirer des recrues potentielles dans les bases militaires américaines de par le monde40.
En 2013, un journal dévoile à l'occasion d'une remise de médaille à deux membres de la Delta Force que l'unité incorpore des personnels provenant d'autres forces armées ; un des médaillés étant issu du Corps des Marines41.
La sélection est appelée assessment and selection course, a lieu deux fois par an et dure environ un mois. Elle commence par des tests physiques de base comprenant des pompes, des abdominaux, et un sprint, une épreuve consistant à ramper et une de natation en treillis. Les candidats de sélection sont ensuite testés dans une série de marches de navigation terrestre similaires à celles du Special Air Service britannique, dans les Appalaches autour de Camp Dawson en Virginie-Occidentale42. Les distances à parcourir et les poids des sacs sont progressivement augmentés et la durée limite de l'épreuve diminuée. Cette « Stress Phase » culmine au bout d'environ un mois par une marche de 40 miles (64 km) sur un terrain ardu avec un sac à dos de 70 livres (30 kg) à effectuer dans une limite de vingt heures.
Cette phase de test ne sert pas uniquement à évaluer l'endurance des candidats mais aussi leur détermination et leur autodiscipline. Cela est complété par des évaluations psychologiques. Les hommes passent ensuite face à un jury réunissant des instructeurs Delta, des psychologues et du commandant de l'unité. Ils posent au candidat une série de questions et ensuite dissèquent chaque réponse où le maniérisme du candidat est étudié dans le but de l'épuiser. Le commandant de l'unité s'en rapporte alors au candidat et lui dit s'il a été sélectionné. Le taux de réussite à chaque sélection varie mais est généralement d'environ 10 %43.
Les candidats retenus suivent ensuite l'Operator Training Course (OTC) à Fort Bragg qui dure environ six mois. Celle-ci comprend des centaines d'heures de tir, l'apprentissage de tactiques avancées d'infanterie, et le drill d'assauts de bâtiments et de combat en milieux clos. Ils suivent également des instructions à la conduite de véhicules, à la protection rapprochée et à opérer clandestinement en zone hostile44. Les sortants de ce cours sont ensuite affectés en unité où, après 18 mois de formation sur le tas, ils reçoivent le Special Qualification Identifier “T” qui les qualifie d'opérateurs de l'unité45.
Opération | Pays | Année | Implication de Delta |
---|---|---|---|
Opération Eagle Claw | Iran | 1980 | Échec en raison de problèmes mécaniques |
Opération Snow Bird | Iran | 1980 | N'a pas dépassé le stade de la planification |
Opération Urgent Fury | Grenade | 1983 | Échec de l'assaut mené par Delta |
Détournement du vol TWA 847 | Liban | 1985 | Mise en alerte de Delta mais pas d'intervention |
Opération Just Cause | Panama | 1989 | Libération de Kurt Muse, citoyen américain emprisonné et menacé d'être exécuté en cas d'invasion (Opération Acid Gambit) Participation à la poursuite du dictateur Manuel Noriega. |
Opération Desert Shield | Arabie saoudite | 1990 | Protection rapprochée du général Norman Schwarzkopf. |
Opération Desert Storm | Irak | 1991 | Participation à la chasse aux Scuds avec le SAS britannique |
Opération Gothic Serpent | Somalie | 1993 | Participation à plusieurs opérations |
Opération Enduring Freedom | Afghanistan | 2001 | Mise sur pied de la Task Force Sword par le JSOC, dont le principal composant « action » était le B squadron de Delta22. Assaut héliporté contre la résidence du mollah Omar le 19 octobre 2001 près de Kandahar, missions de reconnaissance motorisées au sud de cette ville, opérations d'action directe contre des convois talibans. Une de ces opérations comprend le premier saut HALO nocturne en zone de combat depuis la guerre du Viêt Nam46. |
Bataille de Tora Bora (opération faisant partie de l'Opération Enduring Freedom) | Afghanistan | 2001 | Une troupe Delta du A squadron est la principale force terrestre de la coalition impliquée dans la bataille. Les forces de la coalition gagnent la bataille mais bon nombre de membres d'Al-Qaida dont Ben Laden parviennent à s'échapper47. |
Opération Anaconda (opération faisant partie de l'Opération Enduring Freedom) | Afghanistan | 2002 | Opérations de reconnaissance autour de la vallée de Shahi Kot par les équipes India et Juliet de la recce troop du B squadron. Établissement de deux postes d'observation sur des hauteurs avant l'assaut héliporté principal, qui guideront des frappes pendant la bataille48. |
Opération Iraqi Freedom | Irak | 2003 | Un escadron infiltre l'ouest de l'Irak pour faire diversion de l'offensive principale venant du sud. « Maraudage » et escarmouches pour donner une impression de présence. Après la jonction avec un second escadron, remontée vers le nord, destruction des approches du barage de Haditha, harcèlement de l'autoroute 1 au nord de Bagdad et des villes de Tikrit et Bayji49. |
Opération Tapeworm50 (opération faisant partie de l'opération libération de l'Irak) | Irak | 2003 | Mort de Oudaï et Qoussaï Hussein à Moussoul, le 22 juin 2003. |
Opération Red Dawn (opération faisant partie de l'opération libération de l'Irak) | Irak | 2003 | Le C squadron capture Saddam Hussein le 13 décembre 200351. |
Mort d'Al-Zarqaoui (opération faisant partie de l'opération libération de l'Irak) | Irak | 2006 | La troupe de reconnaissance et surveillance du B squadron repère Abou Moussab Al-Zarqaoui à Hibhib, qui sera tué par une frappe aérienne52,53. |
Nom54 | Début | Fin |
---|---|---|
Charles A. Beckwith | 19 novembre 1977 | 1980 |
James Rod Paschall | 1980 | 1982 |
Sherman H. Williford | 1982 | 1985 |
William F. Garrison | 1985 | 1989 |
Peter J. Schoomaker | 1989 | 1992 |
William G. « Jerry » Boykin | 1992 | 1994 |
Bernard J. McCabe, Jr. | juin 1994 | juin 199655 |
Eldon A. Bargewell | 1996 | 1998 |
Gary L. Harrell | juillet 1998 | juillet 200056 |
James H. Schwitters | 2000 | 2002 |
Bennet S. Sacolick | 2002 | 2004 |
Peter « Pete » Blaber | 2004 | 2005 |
Austin S. Miller | Juin 2005 | Juillet 200757 |
source: Wikipédia
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